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LE MOY QUAND ?
de
septembre à décembre 2009
INFOS
| Naissances : |
MARTIN Maïlys le 19 juin 2009
SALIHOVIC-TRIBOUILLOY Sélian le 6 juillet 1009
PREVOST Loévan le 20 septembre 20
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Décès :
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MERCIER Jacques le 4 mai 2009
GAUTIER Renée le 2 juin 2009
BOITELLE Gabriel le 5 juin 2009
VITTE Denise le 29 juillet 2009
LEVEQUE Marcelle le 26 septembre 2009
DEBRAY Jeanne le 29 septembre 2009
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| Mariage de :
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Odette DEPREZ et Jacques ISRAEL le 23 mai 2009
Audrey RIGAUD et Grégory DECAMPS le 11 juillet 2009
Nathalie DUPONT et Alain CARLIER le 22 août 2009
Valérie FAUVETTE et Thierry LANNEZ le 22 août 2009
Sandra HULOT et Gaëtan PAUL-CARON le 22 août 2009
Florie GERARD et Benjamin RAUSCENT le 29 août 2009
Laetitia LAMY et Cédric MANSART le 5 septembre 2009
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LE SAVIEZ-VOUS ?
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Maurice
Paul Emmanuel Sarrail, né à Carcassonne le 6 avril 1856 et mort à Paris
le 23 mars 1929, est un militaire français de la Première Guerre
mondiale.
Il
commande l'École de Saint-Maixent (février 1901-février 1904) et
devient officier d’ordonnance du ministre de la Guerre 1900–1907.
Le
1er novembre 1913, il est nommé commandant du 8e corps d'armée, puis,
le 24 avril 1914, du 6e corps d'armée à Châlons-sur-Marne, qu'il
commande au début des hostilités et à la bataille de Vitron le 22 août
1914.
Le
30 août, avant la première bataille de la Marne, il remplace le général
Ruffey, limogé par Joffre, à la tête de la IIIe Armée.
Il reçoit le
3 octobre un nouveau poste, celui de commandant en chef de l’armée
française d’Orient. Il la commande lors de l'offensive de Vardar en
octobre 1915 et devient commandant en chef des armées alliées d’Orient
le 11 août 1916. Il lance l'offensive de Monastir en novembre 1916. Il
est inhumé aux Invalides.
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LE RELAIS DE POSTE DE LA GUINGUETTE
Le lieu-dit « La
Guinguette » s’appelait « La Croix
Ancelle » et il y avait à cet endroit une croix avec
un christ selon le plan terrier de 1764.
A
l’origine, la Guinguette était un relais de Poste aux
chevaux créé sous Louis XV. Il était placé
sur la ligne de Lille à Châlons. Trois fois par semaine,
en partant de Laon à 10h du soir, on pouvait arriver à
St-Quentin à 7h du matin. Dans l’autre sens, le
départ de St-Quentin se faisait à 8h du matin en hiver et
à 4h en été, et l’arrivée à
Laon à 5h du soir en hiver et à midi en
été.
En 1802, le poste comptait 10 chevaux de relais.
Pierre Eloi Carlier eut son brevet de maître de poste de la
Guinguette en 1816. En 1840, une diligence dite
« jumelles » de 15 places circulait tous les
jours entre St-Quentin et Laon.
En 1823, on établit un chemin de
Moÿ à La Guinguette pour relier le village à la
route de St-Quentin.
En 1870, le relais de poste était encore tenu par la famille Carlier
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LA GUINGUETTE AVANT LA PREMIERE GUERRE MONDIALE
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LA GUINGUETTE APRES LA PREMIERE GUERRE MONDIALE
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LA GUINGUETTE AUJOURD'HUI
Pour voir
plus de photos :
LA SAINTE CATHERINE
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Le 25 novembre, jour de la Sainte Catherine, est le jour des
Catherinettes. Catherine d’Alexandrie était une sainte,
martyre et docteur de l’Eglise. Elle fut décapitée
le 25 novembre 307 et deviendra la seule sainte à
posséder 3 auréoles : la blanche des vierges, la verte
des docteurs et la rouge des martyres.
La
tradition remonte au Moyen Age. A l’époque, les filles de
25 ans qui n’étaient pas encore mariées
revêtaient des tenues et des chapeaux extravagants, aux tons
jaunes
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(symbole
de la réussite ou la foi) et verts (espoir et connaissance), et
se rendaient en cortège devant la statue de Sainte Catherine
pour la parer de fleurs, rubans, chapeaux. Elles
« coiffaient » Sainte Catherine dans
l’espoir de trouver un mari.
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LA BUCHE DE NOEL
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La
coutume d’allumer une bûche de Noël, dans
l’âtre, remonte à très longtemps et existait
dans toute l’Europe.
A l’origine, il s’agissait d’une bûche
qui
devait brûler du 24 décembre jusqu’au Nouvel An. On
devait choisir une grosse bûche de bois ou une vieille souche
provenant de préférence d’un arbre fruitier. La
bûche devait être coupée avant le lever du soleil.
Elle était souvent décorée de rubans. On la
portait ensuite dans la grande pièce familiale avec un grand
cérémonial.
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On
devait placer autant de bûches qu’il y avait
d’habitants dans la maison. Il fallait s’occuper des
bûches avec les mains.
Les
cendres étaient précieusement conservées contre
les orages, pour guérir certaines maladies et pour fertiliser la
terre.
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L'équipe de la commission
accueil vous souhaite de bonnes fêtes de fin d'année
Moÿ
de l'Aisne
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Moy
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